Votre enfant a du potentiel. Il est normal et unique à la fois.
Cela veut dire qu’il est :
« sans problèmes »
« moteur »
« sérieux »
« qu’il a des capacités mais peu exploitées »
« EIP », « précoce », « à haut potentiel » (diagnostiqué ou pressenti)
« dyslexique », « dysorthographique », « dyscalculique », « dyspraxique »
« avec un trouble de l’attention » (en classe…)
« hyperactif »
« très sociable »
« timide »
La juste place du parent:
Pour nous, tous ces profils d’élèves ont besoin d’accompagnement et de soutien, qu’ils manifestent des symptômes de malaise ou pas, qu’ils souffrent de troubles diagnostiqués ou pas. Ils ont tous besoin d’une grande attention de la part du parent, qui sait aussi se tenir pudiquement en retrait et ne pas devenir tyrannique ou intrusif. Ils ont besoin d’une vraie relation au parent et à ses frères et sœurs. Ces relations-là peuvent être travaillées prioritairement. C’est aussi ce que favorise l’instruction en famille, dispositif légal et accessible à tout moment sur simple déclaration jusqu’à la fin de l’année scolaire 202-2021.
Un constat à propos du potentiel des élèves :
Tous les enfants ne sont pas forcément heureux en classe. Beaucoup s’ennuient. Leur potentiel reste en dormance. Certains sont carrément en échec scolaire. Ils voient alors chaque jour leur estime de soi attaquée par ces mauvais résultats et le retard pris. Dans les cas extrêmes, les enfants renvoient une image d’eux-mêmes qui est très en-dessous de leur potentiel réel. Les enseignants qui les découvrent chaque année se font une idée fausse de la personne. Quand bien même ils détecteraient la vraie merveille qu’ils ont en face d’eux, au-delà parfois des apparences, leurs enseignants n’ont pas toujours les moyens de les aider et de les faire s’épanouir. En effet, les contraintes de groupe sont fortes en classe. De plus, les diktats des modes éducatives brident parfois les élans de certains enseignants.
La solution de l’école à la maison:
L’école à la maison, ponctuellement ou de manière plus pérenne, est souvent une bonne solution pour que l’enfant reprenne souffle s’il en a besoin. L’enfant profite pleinement des apprentissages qui lui sont proposés de droit (c’est le droit à l’éducation). Einstein ou pas, son potentiel peut se révéler pleinement. Les contraintes liées à la collectivité disparaissent. D’autres, à la maison, se renforcent mais elles sont presque toujours plus supportables pour l’enfant.